Le denier de l'Eglise
Rappel Denier de l’Eglise : Votre Église compte sur la générosité de chacun, car le Denier est la seule ressource financière qui permette au diocèse de rémunérer ses prêtres et les personnes qui travaillent pour la Mission et l’annonce de la Bonne Nouvelle. Cliquez pour donner… Merci.
https://soutenir.diocese-saintetienne.fr/b/mon-don?cid=1&_cv=1
Il est rappelé également qu’il est possible de faire un legs au diocèse : c’est continuer à faire du bien, comme nous l’avons fait tout au long de notre vie.
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Rappel sur le Denier de l’Eglise
IMPORTANT
Le denier de l’Eglise est exclusivement dédié au financement des activités pastorales, il n'est pas destiné à l'indemnisation des victimes d'abus qui se fait d'une autre façon.
Le denier est une collecte consacrée au traitement de personnes qui consacrent une partie ou la totalité de leur activité au service de l‘Eglise ; cela sert à la rémunération des prêtres et des animateurs laïcs en pastorale (LEME) qui assurent avec de nombreux bénévoles le service des paroisses, des aumôneries et l’accompagnement des mouvements. Cette collecte est diocésaine pour que tout soit bien partagé entre tous, avec un traitement équivalent, que l’on soit l’évêque ou le curé de la plus petite paroisse du diocèse. C’est la seule des trois formes de dons qui permet de recevoir un reçu fiscal. La collecte du denier constitue la ressource la plus importante et il revient à chaque chrétien d’y participer, selon ses moyens.
Il n’y a pas de petit don, car quels que soient le montant et la manière de donner, ce sont bien les dons des fidèles, et uniquement eux, qui permettent à l’Eglise de poursuivre sa mission d’annonce et de témoignage de l’Evangile !
Merci à vous !
03/automne 2023
Des enveloppes sont à votre disposition dans les églises.
Vous pouvez aussi faire votre don sous enveloppe mentionnant « DENIER » à la quête ou la maison paroissiale. Pour un reçu fiscal, merci de noter vos noms prénoms et adresse dans l'enveloppe.
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Le Denier de l’Eglise
IMPORTANT
Le denier de l’Eglise est exclusivement dédié au financement des activités pastorales, il n'est pas destiné à l'indemnisation des victimes d'abus qui se fera d'une autre façon dont nous parlerons dans le prochain livret.
DE QUOI VIT L’EGLISE ?
Pour faire court : l’Eglise ne vit que des dons de ses fidèles.
Quelques détails quand même ?
Il y a trois façons de donner pour l’Eglise : la quête, l’offrande et le denier.
La quête est faite à l’occasion de tous les événements qui rassemblent les chrétiens et leurs amis, les célébrations du dimanche, notamment. Cette quête sert directement à alimenter la caisse de la paroisse pour son fonctionnement habituel, comme dans toute famille : payer le loyer des maisons paroissiales, le chauffage, l’éclairage et l’entretien des bâtiments, l’équipement en matériel. La caisse d’une paroisse est comme la caisse d’une association : on ne peut dépenser que ce qui est récolté.
L’offrande faite par ceux qui demandent un service à l’Eglise, à l’occasion d’une messe, d’un baptême, d’un mariage, de funérailles, de communion, de confirmation ou autres cérémonies particulières. Ce n’est pas le règlement d’une facture, ni un remboursement de frais : tous les actes liturgiques sont gratuits par principe. C’est une offrande libre avec une grille indicative pour ceux qui le souhaitent.
Le denier, enfin, est une collecte consacrée au traitement de personnes qui consacrent une partie ou la totalité de leur activité au service de l‘Eglise ; cela sert à la rémunération des prêtres et des animateurs laïcs en pastorale (LEME) qui assurent avec de nombreux bénévoles le service des paroisses, des aumôneries et l’accompagnement des mouvements. Cette collecte est diocésaine pour que tout soit bien partagé entre tous, avec un traitement équivalent, que l’on soit l’évêque ou le curé de la plus petite paroisse du diocèse. C’est la seule des trois formes de dons qui permet de recevoir un reçu fiscal. La collecte du denier constitue la ressource la plus importante et il revient à chaque chrétien d’y participer, selon ses moyens.
Il n’y a pas de petit don, car quels que soient le montant et la manière de donner, ce sont bien les dons des fidèles, et uniquement eux, qui permettent à l’Eglise de poursuivre sa mission d’annonce et de témoignage de l’Evangile !
Merci à vous !
Des enveloppes sont à votre disposition dans les églises.
Vous pouvez aussi faire votre don sous enveloppe mentionnant « DENIER » à la quête ou la maison paroissiale. Pour un reçu fiscal, merci de noter vos noms prénoms et adresse dans l'enveloppe.
FINANCEMENT DES ÉGLISES EN EUROPE
En France
Depuis la séparation des Églises et de l’État instaurant la laïcité (1905), aucun culte ne peut être subventionné par les pouvoirs publics. Pour continuer à assurer un traitement aux prêtres, l’Église a donc institué une contribution volontaire des catholiques : le Denier du Culte. Cette collecte a changé de nom en 1989, devenant le Denier de l’Église pour exprimer le fait que l’Église n’emploie pas uniquement des prêtres mais aussi des salariés laïcs qui assurent des missions pastorales ou administratives. Ce système est propre à la France.
En Belgique
Nul besoin de collecte du Denier pour rémunérer les prêtres.
En effet, la constitution belge reconnaît une « utilité sociale » aux religions : les ministres des cultes sont rémunérés directement par l’État et leurs pensions de retraite sont également prises en charge. De plus, les provinces ou les communes doivent mettre un logement à disposition des prêtres ou, à défaut, leur verser une indemnité compensatoire.
En Allemagne
L’État autorise les Églises à prélever le Kirchensteuer, un impôt cultuel. Toute personne baptisée payant l’impôt sur le revenu doit reverser à l’Église un impôt dont les Länder (les régions) fixent le taux (entre 8 et 9 % de l’impôt sur le revenu). En plus de cet impôt cultuel, l’Église reçoit des subventions de l’État. Cet impôt s’applique également aux protestants et aux juifs.
En Espagne et en Italie
Dans ces deux pays, les contribuables peuvent choisir d’affecter une partie de leur impôt sur le revenu à l’Église ou à des associations. En Espagne, où seule l’Église catholique profite de cette disposition, 0,5 % de l’impôt peut lui être reversé. En Italie, les contribuables ont le choix de verser les 0,8 % de l’impôt sur le revenu à l’une des six communautés religieuses ayant signé un accord avec l’État, ou à l’État lui-même.
En Suisse et en Autriche
En Suisse, la situation est différente selon les cantons : en Suisse alémanique, le système allemand de l’impôt ecclésiastique prévaut. À l’inverse, dans le canton de Vaud, l’Église est rémunérée par des subventions publiques.
En Autriche, la loi prévoit un financement par une contribution obligatoire des fidèles : c’est alors aux Églises de lever cette contribution mais l’État les assiste pour contraindre les contribuables au paiement.
03/2022